Elsa Brès est née en 1985 et vit à Bréau, dans les Cévennes. Elle est diplômée du Fresnoy - studio national d’arts contemporains en 2017 et de l’école d’architecture de Paris-Belleville en 2012 - où elle a enseigné la théorie de l’architecture et du paysage.

Ses films et installations s’attachent à des forces de résistance dans les paysages socio-naturels contemporains. Mêlant de longues recherches à des expérimentations dans les formes de narration, ses projets sont ancrés dans des territoires auxquels elle est liée, dans une démarche de plus en plus ouverte aux collaborations. Après trois films autour de récits alternatifs sur des projets d’infrastructures liées à l’eau (Stella50.4N1.5E - 2016, 15min ; Love Canal - 2017, 17min ; Sweat - 2020, 30min), elle développe actuellement Les Sanglières, un film situé dans la région rurale française où elle vit qui traite des sangliers comme alliés de luttes. Ce projet au long cours donne lieu à plusieurs installations sur le chemin du film : Notes for les Sanglières (2021) ; Les Sanglières part3seq1&2 (2021) ; Aux Coups de fusil qu’on entend (2022) ; Connivences, Révolutions (2023).

Son travail a donné lieu à des expositions personnelles à La Loge Brussels (2023), au Château d’Assas (2023), à State of Concept Athens (2022).
Ses expositions et projections récentes incluent : La Loge solo show (Bruxelles, 2023), Salon de Montrouge (2022), transmediale (2022, 2021), Vdrome (2022), Cincinnati Contemporary art center (2022), State of Concept Athens (2022), MO.CO Panacée (2021), Tënk (2021), Hong-Kong University (2021), FID Marseille (2020, 2016), CRAC Occitanie (2020), Haus der Kulturen der Welt Anthropocene curriculum (2019), LOOP Barcelona discover prize (2017), Palais de Tokyo (2017).

Elle est active au sein du collectif de production Elinka films.
Elsa Brès was born in 1985 and lives in Bréau, in the Cévennes. She graduated from Le Fresnoy - studio national d'arts contemporains in 2017 and from the Paris-Belleville School of Architecture in 2012 - where she taught architecture and landscape theory.

Her films and installations focus on forces of resistance in contemporary socio-natural landscapes. Combining long-term research with experimentation in narrative forms, her projects are rooted in the territories to which she is linked, in an approach that is increasingly open to collaboration. After three films revolving around alternative narratives about water-related infrastructure projects (Stella50.4N1.5E - 2016, 15min; Love Canal - 2017, 17min; Sweat - 2020, 30min), she is currently developing Les Sanglières, a film set in the rural French region where she lives that deals with wild boars as allies of struggle. This long-term project has given a number of installations along the way: Notes for les Sanglières (2021); Les Sanglières part3seq1&2 (2021); Hearing the riffle shots (2022); Connivences, Révolutions (2023).

Her recent solo presentation include : La Loge Brussels (2023), Château d’Assas (2023), State of Concept Athens (2022).
Her recent and up-coming exhibitions and screenings include: La Loge solo show (Bruxelles, 2023), transmediale (2022, 2021), State of Concept Athens (2022), Vdrome (2022), Cincinnati Contemporary art center (2022), MO.CO Panacée (2021), FID Marseille (2020, 2016), CRAC Occitanie (2020), Tënk (2021).

Her work has been shown and discussed at : Université de Montréal architecture school (2022), Hong-Kong University architecture (2021), Tainan University of the Arts (2017), Haus der Kulturen der Welt Anthropocene curriculum (2019), Porto FAUP (2022), among others. 

Her films are produced within the production collectives Parkadia films and Elinka films.